lundi 30 octobre 2017

Séquence nostalgie : Nirvana - The Man Who Sold The World



Who knows ? Not me
We never lost control
You're face to face
With the man who sold the world

Reprise par Nirvana lors du MTV Unplugged à New York (1994) de la chanson The Man Who Sold the World, composée par David Bowie et parue en 1970.


18 commentaires:

  1. Qu'il était beau.
    Qu'il chantait bien.
    On aurait toujours dit qu'il était en robe de chambre.
    A t'il souri un jour?
    Quelle tragédie.

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    1. On peut parfois voir sur le visage des hommes jeunes l'enfant qu'ils ont été et c'était le cas de Kurt Cobain. C'est peut-être pour cela, aussi, que je n'arrive pas à le regarder sans éprouver de la peine. Il n'était pas armé pour affronter cette jungle médiatique.

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    2. Ah zut alors, j'ai vu un de tes messages dans les spams, j'ai voulu le publier mais je l'ai visiblement effacé. Tu disais que tu n'avais jamais remarqué qu'il était gaucher. Moi non plus.

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    3. Après renseignement, il était gaucher uniquement à la guitare.

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  2. Normalement c'est le légionnaire qu'il était beau, & sentait le sable chaud qui plus est ..
    Quelle tragédie en effet.

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    1. Il avait de grands yeux très clairs
      Où parfois passaient des éclairs
      Comme au ciel passent des orages

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  3. Ce concert (sans doute le plus marquant des Unplugged) avait quelque chose d'une veillée funèbre, hélas.

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    1. Oui, il y a quelque chose de prophétique dans ce concert.

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  4. Hé ben ! C'est Halloween qui vous rend toutes et tous aussi chagrins ?
    J'aime bien la chanson aussi… et j'ignorais que Kurt n'était gaucher qu'à la guitare. Curieux.

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    1. Peut-être l'approche de la Toussaint ? Ce n'était pas volontaire en tout cas. Oui, c'est curieux et sans la remarque de Pascale, je serais passée à côté.

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  5. Comme je joue de la guitare, le geste inverse me semble absolument imposdible à realiser.
    Après avoir écouté je suis allée sur le net mondial pour tout savoir de ce garçon du sinistre Club des 27.
    Quelle triste vie. Une enfance et une scolarité désastreuses. Des parents qui se sont appliqués à le rejeter. Il faut dire qu'un ado c'est déjà la galère mais un hyperactif créatif ça doit être l'enfer.
    Et rencontrer cette très antipathique Courtney n'a pas du l'aider.

    Aujourd'hui c'est mon anniversaire de mariage:-('

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    1. Une sensibilité très forte et une enfance dont on ne se relève jamais vraiment. Courtney n'a pas aidé, c'est certain. Leur fille a la couleur des yeux du père, mais pas son regard. Il y a des photos où le regard de Kurt Cobain témoigne d'une telle angoisse que cela fait mal à voir. C'est dans ces photos que je crois reconnaître l'enfant qui était toujours en lui. Il n'y a pas de voile, l'expression est franche et directe, comme s'il n'avait pas appris ou ne savait pas se protéger. Beaucoup d'adultes arrivent à porter un masque, pas lui.

      Je suis de tout coeur avec toi et mes pensées vous accompagnent à tous les deux, même si je ne l'ai pas connu. Mais il vit et vivra toujours en toi, alors je le connais aussi à travers toi.

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  6. Oui il avait l'air d'un enfant et j'ai découvert son côté idéaliste.
    Hélas il s'est très mal entouré.
    Je ne les connais pas mais la mère et la femme ont l'air aussi antipathiques l'une que l'autre. Je sais, la petite n'y est pour rien... Elle a juste une mère tarée.

    Oui il vit en moi, mais il n'est pas là et c'est de plus en plus difficile...

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    1. J'aimerais trouver les mots pour te réconforter mais je ne les trouve pas. Je suis désolée Pascale, mais tu es en vie et il aurait certainement voulu que tu continues... même si c'est difficile.

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  7. Oui désolée de te mettre mal à l'aise.
    C'était une journée de merde... pas vu âme qui vive et parlé à personne.

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    1. Ne t'excuse pas, Pascale, c'est moi qui suis désolée de ne pas trouver les mots. Mais je ne vais pas te dire des platitudes non plus, et étant moi-même d'une tendance pessimiste/nihiliste. Je n'ai pas demandé à naître dans ce monde où la seule certitude que j'ai, c'est de perdre mes proches avant de disparaître moi-même. Maintenant, j'y suis et il faut faire avec. Mais, franchement... allez, donnons-nous du courage quand même ;-)

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